En République Démocratique du Congo, le candidat président Moïse Katumbi s’est saisi de la tribune qu’il s’est offerte à Kinshasa samedi 9 décembre pour relancer la balle dans le camp de ses adversaires.
L’ancien gouverneur a promis aux congolais de mettre fin à l’arbitraire et de libérer les prisonniers politiques emblématiques et les journalistes gisent dans les prisons du pays. Il a aussi fait la promesse de fermer les cachots parallèles des services de renseignements. Une promesse qu’avait pourtant faite Tshisekedi pendant sa campagne de 2018 mais qui s’est révélée être une illusion.
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L’Opposant Moïse Katumbi a également répondu à l’ancien vice-président Jean-Pierre Bemba qui a multiplié des accusations en son encontre ces dernières semaines. Il a rappelé aux congolais qu’ils connaissaient bien ceux qui ont pris les armes contre Mzee Kabila et les congolais, en référence à Jean-Pierre Bemba dont certains crimes de violation des droits de l’homme sont repris dans le rapport mapping.
Les piques des Moïse Katumbi sont diversement commentées dans la capitale Kinshasa où il a tenu son meeting. Une partie de l’opinion estime que l’ancien gouverneur a bien fait de recarder ses adversaires alors qu’une autre partie pense qu’il aurait fait bien de ne prêter attention à ce jeu de ping pong. Tamtam News
