« Les universités jugées non viables peuvent introduire leur recours. Ils peuvent également le faire au sujet de la publication , par le Ministre de l’ESU, d’une liste n’autorisant que 16 universités à pouvoir continuer avec l’organisation des activités dans la Faculté de Médecine en RDC. », à fait savoir le professeur Antoine Tshimpi .
En effet, à l’en croire, 3 critères ont été pris en compte par le ministère de l’ESU, en vue de réguler l’organisation de la faculté de medecine en RDC.
C’était lors des travaux des états généraux de l’enseignement supérieur et universitaire tenu , à Lubumbashi, du 6 au 14 sepemnre dernier.
En sa qualité du coordinateur national des états généraux de l’enseignement supérieur et universitaire, le professeur Antoine Tshimpi rassure l’opinion que cette décision a été prise après plusieurs investigations qui ont donné lieu à 3 critères ou 3 classifications d’Universités. Il s’agit des éligibles , de ceux en voie d’éligibilité et de non éligibles.
-En première catégorie viennent les établissements qui remplissent presque tous les critères. Elles resteront ouvertes ;
La deuxième catégorie comprend les établissements qui remplissent en partie les critères de viabilité . Ceux-ci peuvent se corriger et compléter les critères qui manquent sur quelques années.
» ces établissements peuvent être mis sous parrainage des établissements qui remplissent tous les critères afin de corriger les leur » .
Et la troisième catégorie, on retrouve les établissements qui ne sont pas conformes et ne répondent pas aux critères de viabilité.
Par ailleurs, ce professeur a évoqué la question de la qualité des enseignants pour avoir des meilleurs produits demain, surtout dans le domaine de la médecine. Puisqu’il s’agit de la vie humaine. C’étaità la radio okapi que ce dernier a communiqué ce mardi 21 Septembre 2021.
» si l’on veut former des médecins, cela veut dire qu’il faut des enseignants qualifiés dans cette faculté de médecine, il faut un minimum de trois professeurs résidents pour le premier cycle de médecine « .
Pour conclure, annonce-t-il, si les établissements partiellemnet viables
peuvent inroduire le recours et espérer une suite favorables ; ceux qui ne répondent à aucun critère sont, selon lui , voués à être fermées même s’il faudraut attendre que les autorités prennent leurs décisions.
En outre, rencherit-il, pour mener à bien ses études de médecine,
les laboratoires de biochimie, d’anatomie et de physiologie. Il faut que cette faculté aie un hôpital universitaire ou des cliniques universitaires. Ce, dans le but aussi de favoriser la pratique.
La rédaction